La nouvelle moquerie de Martinez fait encore parler

Brillant et décisif sur le terrain, Emiliano Martinez s'est aussi tristement illustré à plusieurs reprises ces derniers jours. Au-delà des provocations courantes sur le pré, le gardien de but de l'Argentine a d'abord brandi son trophée de meilleur gardien entre ses parties génitales. Avant de railler Kylian Mbappé dans le vestiaire, demandant une minute de silence à son égard. Cette fois, lors de la célébration de l'Albiceleste, Martinez a paradé avec une poupée à l'effigie de Mbappé. Si le portier d'Aston Villa s'enfonce dans la stupidité, l'affaire pourrait prendre des proportions bien plus inquiétantes. En effet, Lionel Messi, coéquipier des deux intéressés, en sélection avec l'un, au Paris Saint-Germain avec l'autre, ne semblait pas plus contrarié que cela par l'attitude du portier. De quoi promettre un retour glacial dans la capitale ?

Le Français Kylian Mbappé et l'Argentin Lionel Messi sous les couleurs du PSG (Icon Sport)
Le Français Kylian Mbappé et l'Argentin Lionel Messi sous les couleurs du PSG (Icon Sport)

Le comportement de Messi pourrait déplaire à Mbappé

Star mondiale, légende du football, Lionel Messi sait faire très attention à son image. Hélas pour elle, la Pulga était juste à côté de Martinez lors de cette fameuse parade où l'on aperçoit le poupon avec le visage de Mbappé. Visiblement, cette attitude ne semblait pas le déranger. Selon Olé, l'ancien crack du FC Barcelone ne s'est pas rendu compte des agissements de son compatriote. Nul doute que le Français aurait aimé être défendu par son coéquipier du PSG. En vain.

Qu'en sera-t-il au retour des deux stars parisiennes à l'entraînement ? Christophe Galtier, le coach de l'actuel leader de Ligue 1, peut clairement redouter des tensions dans le vestiaire. À quelques semaines, aussi, d'un huitième de finale de Ligue des champions. Mais également à un moment où Leo Messi est en pleine réflexion quant à son avenir. Kylian Mbappé, probablement vexé, souhaitera-t-il voir l'Argentin quitter le navire à l'issue de son bail, en juin prochain ? À moins qu'il ne décide, lui-même, de s'en aller. Affaire à suivre.