Suite à son retour à l'entraînement la semaine dernière, Lionel Messi devrait reprendre la compétition mercredi. En effet, Christophe Galtier envisage de le titulariser face à Angers, lors de la 18ème journée de Ligue 1. En tout cas, la Pulga est revenue à Paris avec le sourire et une motivation intacte. Cela prouve à quel point le septuple Ballon d'Or se plait au PSG, malgré des débuts compliqués. Une prolongation de contrat est donc en discussions mais pour l'heure, rien n'est signé. Pour cette raison, l'Inter Miami croit encore en ses chances de recruter la star argentine.

Phil Neville, le coach de l'Inter Miami, rêve d'une arrivée de Lionel Messi (Icon Sport)
Phil Neville, le coach de l'Inter Miami, rêve d'une arrivée de Lionel Messi (Icon Sport)

L'arrivée de Messi rendrait "heureux" Miami

Pendant la Coupe du monde, des discussions ont été annoncées entre Lionel Messi et David Beckham, co-propriétaire de l'Inter Miami. Une arrivée de la star du PSG aux USA à la fin de la saison a rapidement été démentie par l'entourage du joueur. Toutefois, le club de MLS garde espoir, comme l'a confié son entraîneur Phil Neville. "Je crois que cela pourrait arriver. Les joueurs du monde entier considèrent la MLS comme une grande ligue. Si Messi vient, je serais heureux car j'aime jouer avec les meilleurs et apprendre d'eux", a déclaré l'ancien joueur de Manchester United.

La prolongation de contrat de Messi tarde à arriver malgré l'optimisme de Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG. Parallèlement, aucun accord n'a été annoncé entre le champion du monde argentin et l'Inter Miami. Selon Phil Neville, c'est tout à fait normal. "N'importe quel accord pour un DP (Designated Player, chaque équipe de MLS peut compter un joueur sortant du cadre du salary cap) de ce niveau, c'est compliqué. Ça prend du temps", a rappelé l'ancien international anglais, coach de l'Inter Miami depuis 2021. Toutefois, la tendance actuelle serait largement à une prolongation de contrat de Messi au PSG. Un accord verbal existerait entre le joueur et les dirigeants parisiens et une signature pourrait intervenir avant la fin du mois de janvier.