Mendy ne s'est pas présenté face à la justice ce vendredi

Attendu ce vendredi au tribunal de Chester, Benjamin Mendy ne s’est pas présenté à l’audience. Cette convocation de la justice avait un simple but administratif et visait à régler certains détails du dossier. Selon l'Evening Standard, la séance a duré environ une heure. Pour rappel, le défenseur des Citizens doit faire face à sept chefs d’accusation pour viol, neuf chefs d’infraction sexuelle, le tout sur six victimes différentes. La justice britannique l’a donc convoqué à nouveau à cet effet le 23 et 24 mai prochains et, cette fois-ci, la présence du Français sera requise.

Benjamin Mendy devra se présenter devant la justice anglaise fin mai / Iconsport
Benjamin Mendy devra se présenter devant la justice anglaise fin mai / Iconsport
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Également inculpé, Louis Saha Matturie, accusé de sept viols et de trois agressions sexuelles, devra également faire acte de présence lors de ce rendez-vous judiciaire. Durant ces deux jours, les deux parties vont réétudier les charges à l’encontre du latéral de Manchester city. Il s’agira là de la dernière échéance pouvant révéler des charges à son encontre. 

Dénouement fin juillet

Après avoir vu des plaintes arrivées à compte-goutte, l'accusé n'a, pour le moment, pas été l’objet de nouvelles accusations. La prochaine audience préliminaire en mai déterminera si la justice britannique abandonnera les nouvelles charges à l’encontre du Français. De plus, lors de cet entretien, le Français devra choisir entre plaider coupable ou non coupable.

Lors de l’audience ayant eu lieu ce vendredi, la date du procès a d’ailleurs été révélée. Le juge Everett a confirmé la date du 25 juillet ainsi que la durée de la procédure qui devrait durer environ 6 semaines.

Le joueur a été suspendu par Manchester City depuis qu'il a été accusé par les autorités anglaises le 26 aout dernier. Il a ensuite été placé sous détention provisoire pendant plus de 130 jours.

Actuellement sous liberté conditionnelle, le Français doit se soumettre à un contrôle judiciaire strict depuis le 7 janvier. Affaire à suivre…