Fin de la conférence de presse des Bleus.
Une question sur Mbappé au Real
"Je suis pas là pour parler du Real. C'est mon coéquipier en équipe de France mais pas du Real."
Sa progression après 2022
"J'ai pas fini d'apprendre. Même si ça va vite, je suis toujours à l'écoute. Tout ce que j'ai à prendre des joueurs expérimentés, je le prends. Je suis le même qu'en 2022, j'apprends, et j'ai pas fini de progresser."
"Kylian est un des meilleurs joueurs du monde. Il peut marquer beaucoup de buts et j'espère qu'il restera en forme."
Les élections européennes
"Aujourd'hui, je ne suis pas venu pour parler politique. Je préfère parler de football."
Un nouveau système
"On a l'habitude de changer de système. Ca ne me dérange pas et je ne me pose aucune question. Quand Théo est à gauche, c'est bien, parce qu'il est très offensif. Il peut être décisif plus rapidement."
Ce que Rangnick lui a apporté
"Rangnick m'a donné beaucoup de confiance et de liberté sur le terrain. Son style de jeu me plaisait. Défendre en avançant, le pressing... Je suis très reconnaissant."
Son échange avec Deschamps
"Avant chaque sélection, on se parle. Il a confiance en moi, si je suis là. Je veux lui rendre sur le terrain."
Des choses à corriger par rapport à 2022
"On est dans la continuité. On a fait de bons matches à la Coupe du monde. Maintenant c'est l'Euro, c'est une autre compétition. Il y a de très bonnes équipes, mais on est prêt."
Des doutes cette saison ?
"La saison la plus dure de ma carrière ? Non. C'est sûr que c'était compliqué, mais j'ai gardé un bon état d'esprit. Maintenant je suis focalisé sur l'équipe de France et on verra à la fin de l'Euro pour le Bayern."
Son aventure en Autriche
"Je suis parti à 16 ans. Si je devais refaire mon parcours, je le referais. Beaucoup me disaient de ne pas y aller...
Les qualités de Saliba
"Il a fait une grosse saison. C'est un des meilleurs centraux de Premier League. Il y a de la concurrence, j'aime ça. C'est le coach qui va choisir."
Les soucis dans le jeu
"Je vois pas de problèmes. On monte en puissance. Je suis impatient de jouer contre l'Autriche. Il va falloir bien l'aborder, on est tous prêts."
Son association avec Konaté
"Avec Ibou, on a eu des discussions quand on jouait à Leipzig ensemble. Ça fait longtemps qu'on se connait. J'ai beaucoup de facilité à jouer avec lui."
Le match contre l'Autriche
"L'intensité sera à la hauteur. J'ai joué en Autriche, la plupart des joueurs jouent en Allemagne avec moi, ça ne sera pas facile. C'est une équipe qui donne tout, et ça fait sept matches qu'ils n'ont pas perdu. On s'attend à un match compliqué."
Une arrivée en fanfare
"Ça fait plaisir d'avoir un bel accueil. Voir ça, ça donne envie de donner plus pour le pays. On va tout faire pour les rendre heureux."
Fin de la conférence de presse de Kingsley Coman. Place à Dayot Upamecano.
Les certitudes collectives ?
"Il n'y a pas d'alarme. On a noté des soucis, mais ils ne sont pas insurmontables. En amical, on a toujours peur de se blesser, peut-être un peu moins d'excitation. On verra les quelques détails à régler avec le coach."
Le nul face au Canada
"On est serein. Nos ambitions n'ont pas changé. Mais ce n'est pas parce qu'on est serein qu'on va gagner. Il n'y a pas d'alarme."
Fraîcheur psychologique ?
"Je pense que c'est différent (par rapport à 2016). Quand c'est la première fois, il y a plus d'excitation. Là j'arrive en fin de carrière, enfin, le plus gros de ma carrière est derrière moi. Donc on l'aborde en sachant qu'il y en aura pas deux ou trois après celui-là."
L'état d'esprit des Bleus
"Un groupe confiant, qui rigole beaucoup. On est prêt à se battre les uns pour les autres. En terme de groupe, on est au maximum."
"On a une concurrence saine. Notre rôle peut changer en cours de compétition. Ce que j'aime bien, c'est que la concurrence est saine. L'important, c'est de savoir son rôle, donner son maximum et ne pas avoir d'états d'âme."
Une crainte après sa blessure à l'entraînement ?
"Il y a plein de fois où je crie à l'entraînement. Et c'était le genou donc j'ai eu un peu peur. Mais j'aurais pu continuer l'entraînement, c'est le doc qui m'a demandé d'arrêter. Mais pas de frayeur."
La concurrence en bleu
"J'ai commencé toutes les compétitions en tant que remplaçant. Mais je serai prêt si on fait appel à moi. On est équipe, on doit tout donner, peu importe le temps de jeu."
Le changement de système
"J'ai joué piston quelques fois. Donc défendre, ce n'est pas un problème. Tout le monde donnera tout pour cette équipe."
Sur les favoris
"Il y a beaucoup de favoris. L'Allemagne est forcément favorite. Comme l'Angleterre, comme nous, l'Italie, l'Espagne..."
Sur l'Allemagne
"Ça va faire huit ou neuf ans que je suis en Allemagne, donc c'est forcément un petit avantage."
Les élections européennes
"Non, on en n'a pas parlé. On a une compétition à préparer. On garde notre concentration sur le football, on ne pense pas à la politique."
Coman en conférence de presse
"Je suis prêt à jouer 15/20 minutes", déclare Coman, pas encore à 100%.
Bonjour à tous
Dans quelques minutes (16h15), Kingsley Coman et Dayot Upamecano, les deux joueurs du Bayern Munich et de l'équipe de France, se présenteront en conférence de presse, à cinq jours d'affronter l'Autriche à l'Euro. Suivez les temps forts de ce point presse ici. Cette prise de parole intervient quelques heures après l'arrivée officielle des Bleus en Allemagne, où ils tenteront de remettre la main sur un trophée qui les fuit depuis 24 ans.