A quelques jours de la fin du mercato, Gianluigi Donnarumma est toujours un joueur du PSG. Pourquoi ? Jusqu'à quand ? Éléments de réponse.
La situation de Gianluigi Donnarumma est particulièrement laborieuse. Le géant italien n'a plus sa place dans l'effectif du Paris Saint-Germain et il a vu Lucas Chevalier débarquer en provenance du LOSC pour le remplacer au poste de numéro 1. Les choses sont donc claires et établies : s'il ne quitte pas le club de la capitale au plus vite, il risque de passer plusieurs mois sans jouer. Un état de fait qui pourrait avoir de graves conséquences pour son avenir, alors que la Coupe du monde 2026 aura lieu à l'issue de la saison qui vient de commencer. Pour autant, il semble s'être déjà préparé à une telle éventualité, à quatre petits jours de la fermeture définitive du mercato estival.
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Gianluigi Donnarumma, un dossier complexe
Comme l'indiquait récemment RMC Sport dans des informations que nous vous avons relayées, Gianluigi Donnarumma est très proche de s'engager à Manchester City. Le portier italien est quasiment d'accord avec les Skyblues - tout n'est qu'une question de détails car il veut signer là-bas, et un terrain d'entente entre les deux clubs ne devrait pas être trop difficilement trouvé dans l'intérêt de tous. Mais un détail important bloque encore la transaction. Ederson, le gardien titulaire habituel depuis 8 ans, n'est toujours pas parti. Galatasaray lui tend les bras mais aucun accord total n'a encore été trouvé, ce qui ralentit drastiquement le dossier Gianluigi Donnarumma.
Alors que faire en attendant ? RMC Sport explique que Gianluigi Donnarumma refuse de quitter le Paris Saint-Germain si ce n'est pas pour un projet qui lui plait. En d'autres termes, si Manchester City ne débloque pas la situation d'ici au lundi 1er septembre et qu'aucun autre cador européen ne lui propose un projet attrayant, alors il restera à Paris. Il se dit qu'il serait même prêt à attendre jusqu'au mois de janvier prochain pour explorer de nouvelles pistes. Un dossier qui commence à inquiéter beaucoup de monde, alors que Paris se verrait bien récupérer au moins 30 millions d'euros plus l'économie sur son salaire dès cet été. Une somme qui pourrait d'ailleurs baisser encore si les Cityzens persistent à faire descendre la note.
