L'heure approche. À quelques heures de démarrer sa campagne de Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain n'a pas encore apporté toutes les garanties espérées pour prétendre à une première victoire historique dans la compétition. Membre du dit "groupe de la mort" (également composé de l'AC Milan, Newcastle et du Borussia Dortmund), le club de la capitale va donc rapidement avoir l'opportunité de se jauger.

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La Ligue des Champions sera le révélateur de l'influence de Luis Enrique sur le PSG (Icon Sport)

Et cela dès mardi, face aux Allemands du BvB, dont les supporters parisiens se souviennent forcément pour les avoir éliminés de la compétition durant la "saison Covid". Mais beaucoup de choses ont changé depuis. Et, ce, des deux côtés. Avec un effectif renouvelé cet été et des idées de jeu nouvelles apportées par Luis Enrique, le remplaçant de Christophe Galtier, le PSG espère bien se rapprocher du Graal ultime. L'avantage pour eux est que leurs adversaires de ce premier tour ne débuteront pas la compétition en pleine confiance, eux qui connaissent des difficultés plus ou moins importantes en championnat.

Hummels évoque le mal du Borussia

Si le PSG s'est incliné face à Nice ce vendredi (3-2), le Borussia Dortmund s'est quant à lui imposé en déplacement sur la pelouse de Fribourg (2-4) ce samedi. Mais la réalité du terrain est tout autre que ce résultat satisfaisant, face à l'une des belles équipes de Bundesliga, laisse transparaitre.

Interrogé à l'issue de la rencontre, le vétéran allemand Mats Hummels a d'ailleurs détaillé les problèmes qu'il perçoit dans son équipe. "Face à un Fribourg plus agressif, nous avons un peu manqué d'activité sans le ballon, a-t-il indiqué. Nous les avons ainsi rendus un peu plus forts. Dominer l'adversaire avec le ballon au milieu de terrain est un domaine dans lequel nous devons clairement nous améliorer si nous voulons être une équipe de haut niveau. Si nous voulons faire un pas en avant, nous devons aussi dominer au milieu de terrain et être capables de démonter un adversaire qui presse." De bon augure pour les Parisiens ?