Pérez aurait confirmé les pressions subies par Rubiales
Les révélations sur le comportement de Luis Rubiales depuis son baiser qui a déclenché la polémique à la dernière Coupe du monde s’enchaînent. Il y a quelques jours, El Confidencial assurait que l’ancien dirigeant avait faire pression sur une employée de la Fédération espagnole, Patricia Pérez, pour tenter de se disculper de son geste. Et celle-ci vient visiblement de confirmer cette information, et en a dit un peu plus sur le sujet.
Dans le cadre de l’enquête sur le comportement de son ancien patron, Pérez s’est présentée à la Cour nationale en tant que témoin dans cette affaire. Et d’après Mundo Deportivo, elle a avoué avoir subi des pressions pour approuver le faux témoignage de Jenni Hermoso selon lequel le baiser de Rubiales était consenti.
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D’autres dirigeants auraient aussi été coupables
Rubiales ne serait d’ailleurs pas le seul à avoir tenté d’obtenir l’approbation de Pérez durant une réunion d’environ trois heures. D’autres supérieurs de celle qui occupe le poste de cheffe de presse de la sélection féminine espagnole auraient fait la même chose. Il semblerait donc que l’ancien patron de la Fédération espagnole ait bel et bien tenté de fabriquer de fausses preuves, et qu'il n'ait pas été le seul…
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La prochaine étape dans cette affaire sera de connaître le témoignage d’Alexia Putellas, Irene Paredes et Misa Rodríguez. Ces dernières auraient aussi reçu des pressions de la part de Rubiales et certains de ses proches. Elles témoigneront devant le juge d’instruction ce lundi 2 octobre. Elles pourraient donc enfoncer encore un peu plus l’ancien président de la Fédération espagnole.
