Dans quelques heures, il en sera fini de l'année 2023 du Paris Saint-Germain. Dans son jardin, le club de la capitale reçoit le FC Metz (21 heures) pour le compte de la dix-septième journée de Ligue 1. Ensuite, l'actuel leader du championnat défiera le Toulouse FC en finale du Trophée des champions et Revel en Coupe de France. D'ici-là, le moment est venu de faire un premier bilan sur l'arrivée de Luis Enrique en lieu et place de Christophe Galtier.
Le vestiaire parisien pas complètement séduit
D'un point de vue purement comptable, les débuts sont encourageants. Les coéquipiers de Marquinhos sont qualifiés pour les huitièmes de Ligue des champions, qu'ils disputeront contre la Real Sociedad, et sont assurés de passer l'hiver en tête de L1. Pour le reste, il y a débat. Déjà, quant à l'utilisation de Kylian Mbappé. Ces derniers jours, une polémique pointe le bout de son nez en raison de l'utilisation axiale du capitaine de l'équipe de France. Et bien que l'entraîneur espagnol ait nié en conférence de presse, on sent que tout n'est pas au beau fixe entre les deux hommes.
En ce qui concerne les autres membres du vestiaire, L'Équipe croit savoir, ce mercredi, que certains aspects de la méthode de travail de l'Asturien font grincer des dents. Dès le début, l'ancien du FC Barcelone a prévenu : il aime la concurrence et la polyvalence. Sauf que, selon le quotidien sportif, sa façon de faire déplaît à certains.
L'effectif ne comprend pas toujours Luis Enrique
Régulièrement, "Lucho" aligne des joueurs à des postes différents. Ça a pu être le cas avec Nordi Mukiele, utilisé dans le couloir gauche, Carlos Soler, qui a remplacé Achraf Hakimi à plusieurs reprises, ou Vitinha, baladé entre le milieu et l'aile gauche de l'attaque. Les exemples sont nombreux et, dans son édition du jour, le journal révèle que certains n'ont pas toujours été préparés.
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En effet, nos confrères précisent qu'il est déjà arrivé qu'un joueur découvre son poste à l'annonce de la composition. Le tout sans l'avoir préparé en amont, ni même sans avoir été tenu au courant. À cela s'ajoute une certaine incompréhension à laquelle Enrique ne répond jamais. Sympa !
