Au milieu de tous les problèmes sportifs et polémiques extra, le Paris Saint-Germain travaille sur l'avenir. Luis Campos et le reste de la direction du club préparent la saison prochaine, en commençant par le choix de l'entraîneur. Christophe Galtier, en place depuis un an et dont le bail court jusqu'en juin 2024, ne devrait pas honorer sa dernière année de contrat. Pour le remplacer, le conseiller sportif du PSG songe à un ami de longue date : José Mourinho.

Le Special One ferait partie de la (très) short-list des dirigeants parisiens pour prendre place sur le banc du Parc des Princes. En poste à l'AS Roma, le Portugais serait, si l'on en croit les informations de Foot Mercato, le plan A. Et, en cas d'échec, le plan B s'appellerait Thiago Motta. Ça, c'est pour le sportif. Mais en dehors, ça travaille également.

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Thiago Motta, ici sur le banc du Genoa, lors de sa première expérience comme entraîneur dans le monde professionnel. (IconSport)

Vers une entrée d'Arctos Sports Partner au capital du PSG

En 2011, le club d'Île-de-France connaissait un tournant dans son histoire, avec le rachat par Qatar Sports Investments. Depuis, QSI a multiplié les investissements financiers pour développer le marque et en faire un acteur majeur du football européen. Sauf qu'aujourd'hui, en 2023, le Qatar chercherait à prendre un peu de recul. Sans se désengager du club, loin s'en faut, les propriétaires qatariens aimeraient libérer une place au capital.

Selon CBS Sports, dont l'information a été confirmée par RMC Sport, l'heureuse élue pourrait être l'entreprise Arctos Sports Partner. Plusieurs groupes seraient intéressés mais le fond d'investissement américain aurait une longueur d'avance. Le PSG est valorisé à 4 milliards d'euros. Les investisseurs étasuniens se seraient positionnés pour en racheter entre 5 et 15 %.

Le Parc des Princes, un frein potentiel

Tout semble bien engagé, donc, mais un détail bien précis pourrait tout de même poser problème : le Parc des Princes. Le fait que le leader de Ligue 1 n'en soit pas propriétaire fait se poser des questions aux nombreux candidats pour un rachat minoritaire du capital francilien. Affaire à suivre !