À 29 ans, Harry Kane arrive à une étape cruciale de sa carrière. L'Anglais, qui n'a plus rien à prouver à Tottenham, est courtisé chaque année, mais sans jamais être autorisé à partir. Le président des Spurs, Daniel Levy, sait se montrer intraitable en affaires, mais pourrait faire un joli cadeau au meilleur buteur de l'histoire des Londoniens.

Harry Kane, buteur et capitaine de Tottenham. (IconSport)
Harry Kane, buteur et capitaine de Tottenham. (IconSport)

Manchester United fonce sur Harry Kane

Sans véritable attaquant de pointe dans son effectif, Erik ten Hag veut en recruter un le plus vite possible. Le plus vite, dans le football, c'est cet été et, pour satisfaire son entraîneur, Manchester United a décidé de lui faire confiance. Le Néerlandais veut Harry Kane dans son onze. Cette piste, qui est donc validée par les décideurs mancuniens, a tout de même un coût. Récemment, The Times annonçait que Tottenham réclamait près de 115 millions d'euros pour céder son capitaine. De son côté, l'actuel troisième de Premier League ne serait prêt qu'à débourser 90 millions. À un an de la fin du contrat londonien de la vedette britannique, les dirigeants de Manchester United espèrent que leurs homologues se montreront flexibles.

Tottenham pourrait refuser un départ

Mais rien n'est sûr ! Ce ne serait pas la première fois que le serial buteur, arrivé chez les Spurs en 2013, se verrait refusée une envie de départ. Car oui, Harry Kane veut partir. À l'aube de la trentaine, le meilleur buteur de l'histoire des Three Lions veut remplir son armoire à trophées, uniquement occupée par ses exploits individuels. Mais si les informations de Sky Sports sont vraies, Daniel Levy pourrait forcer son joueur à rester. Dernier obstacle qui pourrait se hisser sur la route de Manchester United : la concurrence.

Le talent de l'Anglais est connu de tous et, en cas de départ autorisé, plusieurs clubs pourraient se positionner. Le Bayern Munich peut être intéressé, mais avec l'arrivée de Thomas Tuchel, ses plans pourraient être légèrement modifiés. Affaire à suivre...