Un mois après, la finale du Mondial encore dans toutes les têtes

Le 18 décembre 2022, soit il y a un mois jour pour jour, l'équipe de France a perdu sa couronne planétaire en s'inclinant en finale de la Coupe du monde face à l'Argentine, à l'issue de la loterie des tirs au but. Malgré le laps de temps écoulé, ce match au scénario tout simplement incroyable continue de faire parler. Comme l'après-match, qui plus est, avec les nombreuses célébrations peu inspirées à l'encontre de certains joueurs tricolores. Le meilleur d'entre eux, Kylian Mbappé, auteur d'un triplé ce jour-là, a été la cible privilégiée de l'Albiceleste. Cristian Romero, auteur d'un geste potentiellement dangereux sur Hugo Lloris, son coéquipier à Tottenham, sans s'excuser pour autant, a fait partie des acteurs argentins. Il vient notamment d'en dire plus sur sa célébration surjouée devant l'attaquant du PSG au moment du troisième but de Messi.

Cristian Romero avait jubilé devant Mbappé lors de France - Argentine (Icon Sport)
Cristian Romero avait jubilé devant Mbappé lors de France - Argentine (Icon Sport)

Romero célèbre devant Mbappé pour une raison bien particulière

On a tous encore en tête cette image presque irréelle. À la 108e minute de ce France - Argentine, Lionel Messi pensait offrir le titre à sa sélection en marquant le but du 3-2. Dans la foulée, Cristian Romero, le défenseur de l'Albiceleste, est venu scander sa joie en hurlant à quelques centimètres du visage de Kylian Mbappé. Interrogé sur les ondes de DSportsRadio, le joueur recruté par la Juventus Turin en 2020 sans jamais y jouer a livré sa version des faits.

"J'ai crié le but à la figure de Mbappé, car Enzo (Fernandez, NDLR) avait parlé avec lui et il (Mbappé) l'a très mal traité. Donc, j’ai fêté le but de Leo devant son visage", a ainsi expliqué Romero. Tout en reconnaissant la valeur des Bleus : "Je regarde la finale tous les jours. J'ai toujours voulu affronter la France en finale, car ils étaient champions du monde. C'était un match difficile car nous connaissions le standing qu'ils avaient." De quoi tourner la page, pour de bon ?