Le PSG s'en est bien sorti face à Montpellier. Après une première période difficile, le club de la capitale s'en est bien mieux sorti en seconde mi-temps. Des réalisations de Fabian Ruiz, Léo Messi et Warren Zaïre-Emery ont permis aux parisiens de s'imposer 3-1. "J'ai aimé les efforts faits par l'équipe" assure Christophe Galtier après la rencontre. 

Christophe Galtier, entraîneur du PSG, en conférence de presse (Icon Sport)
Christophe Galtier, entraîneur du PSG, en conférence de presse (Icon Sport)

"Il y a eu des choses intéressantes" 

En conférence de presse après la rencontre, Christophe Galtier semble assez content du match parisien dans sa globalité. "Dans l'ensemble, je suis satisfait, même si on a un scénario incroyable en première mi-temps. On a fait une deuxième période plus aboutie. (…) Il y a eu des choses intéressantes". 

En parallèle, le coach du PSG a cependant avoué quelques erreurs de la part de son équipe. "On a fait des erreurs techniques inhabituelles. On en avait beaucoup parlé avant le match", décrypte-t-il. "Dans l'investissement, les joueurs ont répondu présent. Même si tout n'a pas été parfait". 

Christophe Galtier donne des nouvelles des blessés 

La rencontre aura également été marquée par plusieurs faits. Les principaux sont les blessures de Kylian Mbappé et Sergio Ramos, tous les deux sorties en cours de jeu pour céder leur place. Le coach parisien a tenu à donner quelques nouvelles. "Ramos s'est fait mal à l'adducteur. On pense que ce n'est pas grave, mais avec l'enchaînement des matches, il a souhaité sortir. Mbappé a pris un coup derrière le genou. (…) Ça ne paraît pas très grave, ni pour l'un, ni pour l'autre. Il n'y a pas trop d'inquiétude". 

Enfin, Christophe Galtier s'est exprimé concernant ce mois de février dantesque qui se présente aux parisiens. "Une pression ? Oui, automatiquement quand vous signez au PSG. Il y a une obligation de résultat. La Ligue des champions vous impose d'être prêts. On a des joueurs qui reviennent, on a eu une Coupe du monde. Il faut croiser les doigts pour les blessures. Je savais avant de venir qu'il y avait de la pression".