Peter Bosz, stop ou encore ?
L’Olympique Lyonnais est en train de réussir un beau parcours en Europa League. Après un sans-faute en poules, les Gones viennent d’éliminer Porto et s’apprêtent à défier West Ham en quart de finale. Voilà pour les points positifs. Pour le reste, la saison de l’OL est décevante de A à Z. Malgré un effectif très talentueux, Peter Bosz n’a pas encore réussi à sortir son équipe du ventre mou. À défaut de résultat, ses hommes ne proposent même pas le jeu offensif et ambitieux promis par le tacticien hollandais.
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Alors, la question du départ de l’entraineur se pose forcément. Avec un bilan comptable historiquement faible et de nombreux choix contestés, voire incompris par les supporters lyonnais, tout semble converger vers un renouvellement du poste. À moins que les protégés de Peter Bosz ne finissent la saison en boulet de canon, avec un podium encore atteignable et pourquoi pas un trophée européen ; ou à moins que Jean-Michel Aulas ne joue la patience envers un projet en lequel il croit encore.
Stéphan et Kovac, deux pistes made in Ligue 1
Pour se préparer à toutes les éventualités, les dirigeants lyonnais travailleraient sur les successeurs potentiels. Si la piste Laurent Blanc est toujours d’actualité, FootMercato nous révèle que deux nouveaux noms sont arrivés sur la table. Le premier s'annonce difficile. Julien Stéphan a le profil idéal, mais il sera très compliqué à aller chercher. L’ancien entraineur de Rennes est arrivé l'été dernier à Strasbourg, et on l'imagine mal quitter l'Alsace après un premier bilan très supérieur aux attentes (le RCSA est pour l’instant 5ᵉ de Ligue 1).
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L’autre piste s’appelle Niko Kovac, et elle semble un peu plus réaliste. Selon FootMercato, l’entraineur croate serait bien tenté par une nouvelle expérience en France, quelques mois après son départ de Monaco. Malgré son renvoi en janvier dernier, Kovac a laissé un bon souvenir en Principauté grâce à une saison 2020-2021 très aboutie, pendant laquelle il a fait briller de nombreux jeunes. Pour l’OL, l’ancien du Bayern a également la tête de l’emploi. Seul point négatif : il ne parle pas (encore) le français, une caractéristique qu’on dit chère aux yeux de Jean-Michel Aulas.
