Et si Youcef Belaïli parvenait à rester en Ligue 1 ? C'est l'information un peu folle révélée par L'Equipe ce lundi 10 octobre. En effet, le quotidien sportif français assure que l'AC Ajaccio aurait pris des renseignements à propos de la situation de l'ancien joueur du Stade Brestois. Alors que Nabil Djellit affirme que le joueur espère avoir du temps de jeu conséquent dans un club européen, le joueur aurait toujours en ligne de mire la sélection nationale. Si l'Algérie ne participera pas à la prochaine Coupe du monde, il n'en souhaiterait pas moins pour autant laisser tomber les Fennecs. Le sélectionneur des Verts lui a même laissé un ultimatum, expliquant que son dernier passage en France pouvait lui laisser des plumes.
- A lire aussi : Ligue 1 (J10) : Lorient brille encore, Strasbourg renaît, Nice se rassure et Auxerre sombre
Belaïli en Corse, de quoi oublier la Bretagne ?
La Corse et ses paysages paradisiaques ont de quoi rapidement faire oublier la Bretagne à Youcef Belaïli. Si l'international algérien a dû trouver une solution pour mettre un terme à son contrat à Brest, la fin de l'histoire entre les deux parties fut tout sauf heureuse. En effet, des discussions pour résilier son contrat ont abouti après une enquête réalisée par Le Télégramme qui assurait avoir des preuves que le milieu de terrain offensif avait saccagé l'appartement dans lequel il vivait. Ceux en charge du dossier ont assuré que les réparations étaient estimées à plus de 50 000€. Des faits que le principal intéressé a jusqu'alors nié.
- A lire aussi : Brest : Belaïli sort du silence et règle ses comptes
En attendant, il s'est montré prêt à rapidement tourner la page. De quoi donner une chance à l'AC Ajaccio de le récupérer ? Si des discussions entre les deux parties sont possibles, c'est grâce à la règle du joker. En effet, Belaïli ayant joué en France lors de son dernier contrat, le club corse peut alors entamer des discussions pour le faire venir librement en tant que joker. Toutefois, les discussions n'en sont encore qu'au stade de renseignements. À suivre, donc.