Avec Max Dowman, Arsenal tient son nouveau Lamine Yamal. En tout cas, la comparaison est pertinente selon Cristhian Mosquera.

A son époque, Kylian Mbappé était clairement une anomalie. Une pépite qu'il était très rare de voir éclore à un si jeune âge. Mais la génération d'après lui est encore plus anormale. A l'instar de Lamine Yamal, de nombreux jeunes joueurs sont à l'honneur et jouent dans certains des plus gros clubs du monde comme s'ils avaient déjà un gros vécu au niveau professionnel. Et Arsenal peut clairement se targuer d'avoir le futur gros phénomène du football mondial. Avec Max Dowman, les Gunners tiennent indéniablement leur nouveau Lamine Yamal.

Max Dowman, la pépite qui fait rêver Arsenal

C'est en tout cas ce qu'affirme Cristhian Mosquera. Arrivé à Arsenal en provenance de Valence cet été, le défenseur central hispano-colombien s'est trouvé subjugué par le talent et la maturité du jeune Max Dowman. Né le 31 décembre 2009, le gaucher n'a même pas encore fêté ses 16 ans et compte déjà des minutes précieuses de temps de jeu en Premier League. Avec 27 minutes glanées face à Leeds, il compte déjà une passe décisive après avoir sorti un match salué par la presse britannique. Réutilisé uniquement pour le match face à Port Vale en Carabao Cup, il n'a pas encore pu rejouer avec l'équipe première. En attendant, il s'éclate avec les U21 avec qui il a marqué deux buts en deux matchs.

"Je ne cherche pas à comparer, mais son style et sa façon de jouer sont similaires à ceux de Lamine Yamal. Ses mouvements sont typiques de Lamine. Je ne le connaissais pas et, quand je suis arrivé à Singapour, il s'entraînait et jouait déjà. Quand on m'a annoncé qu'il avait 15 ans, je n'en croyais pas mes yeux. C'est vraiment un joueur incroyable, et je pense qu'il deviendra un joueur de classe mondiale. On voit des jeunes de 17 et 18 ans comme Myles (Lewis-Skelly) ou Ethan (Nwaneri) et ils jouent comme s'ils avaient 30 ans, comme s'ils avaient joué au football toute leur vie. C'est incroyable !", s'est exclamé Cristhian Mosquera pour The Athletic. Une précocité rare qui ne demande désormais qu'à être entretenue pour éviter d'être tuée dans l'oeuf.