Après un nouveau match passé entièrement sur le banc, Rodrygo en a assez de Xabi Alonso. Son souhait est clair, il veut quitter le Real Madrid.

Face à Osasuna, le Real Madrid a réussi sa rentrée, au moins d'un point de vue comptable. Courte victoire 1 à 0 dans un Santiago Bernabéu rempli pour la première de Xabi Alonso sur le banc du club en championnat. D'un point de vue football et spectacle, ce n'est clairement pas un match qui restera dans les annales. Buteur sur un pénalty qu'il a lui-même provoqué, Kylian Mbappé n'a pas été flamboyant, cherchant constamment à reculer d'un cran pour se muer en une forme de Karim Benzema mais sans l'inspiration et la réussite qui vont avec. De son côté, Vinicius Junior n'a été que l'ombre de lui-même. Et dans ce lot de déceptions, on retrouve logiquement Rodrygo. Lui ? Il n'a pas joué, et ça a de quoi mettre le feu aux poudres.

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Rodrygo pète un câble contre Xabi Alonso !

Selon les informations de Fichajes, Rodrygo n'a pas du tout apprécié d'être relégué sur le banc lors de la réception d'Osasuna. Le Brésilien s'est échauffé sur le bord du terrain, attendant patiemment son tour, mais n'a pas pu fouler la pelouse à cause des choix faits par Xabi Alonso. Une situation qui devient insoutenable : le numéro 11 madrilène n'a pas du tout l'intention de passer la saison sur le banc et même si son entraineur a rassuré après la rencontre en disant qu'il comptait toujours sur lui, la réalité est qu'il a besoin de temps de jeu pour espérer participer à la prochaine Coupe du monde en juin et juillet prochain.

"Je ne peux pas attendre une année entière sur le banc", aurait-il confié à ses proches dans des propos relayés par le média espagnol. Son objectif est clairement d'être régulier afin de convaincre Carlo Ancelotti. Un départ est-il donc inéluctable ? Si le Real Madrid souhaitait 100 M€ plus tôt dans le mercato, les Merengues ont accepté de baisser la note à un montant fixé entre 70 et 80 M€. Une somme déjà colossale mais qui permettrait à des clubs comme Arsenal et Manchester City de foncer. En tout cas, le divorce semble amorcé.