La vie n'est pas un long fleuve tranquille. S'il ne le savait pas déjà après ses passages à l'AS Saint-Étienne, au LOSC ou à l'OGC Nice, Christophe Galtier l'aura compris avec son année au Paris Saint-Germain. Dans les prochains jours, l'entraîneur français devrait être remis de ses fonctions par la direction parisienne, un an après sa nomination, et son armoire à polémiques est bien remplie. On pourrait citer l'histoire du char à voile ou les accusations de discriminations raciale dont il fait l'objet sur la Côte d'Azur, mais non. Ce jeudi, Zoumana Camara a ajouté de nouveaux éléments.
Les jolis mots de Zoumana Camara envers Mauricio Pochettino
Dans une interview accordée à France Bleu Paris, le jeune tacticien, en poste au sein de la section U19 du club de la capitale, s'est livré sans langue de bois sur ses relations avec les entraîneurs passés par l'équipe professionnelle sous son mandat. Après la pause forcée liée à la pandémie de Covid-19, Zoumana Camara a succédé à Thiago Motta. À cette époque, Mauricio Pochettino était en place à l'échelon supérieur.
"(Mauricio) Pochettino, je l’ai rencontré en début de saison. Il m’avait salué dans son bureau où j’étais venu récupérer des affaires. Il m’avait dit à l’époque 'mon bureau est grand ouvert, tu viens quand tu veux, tu n’hésites pas. Si tu as besoin de quoi que ce soit, si tu veux discuter football, c’est avec grand plaisir. Ma porte est toujours ouverte'", raconte-t-il. Le moins que l'on puisse dire est qu'entre l'Argentin et son remplaçant tricolore, il y a deux mondes d'écart.
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Et ses vérités sur Christophe Galtier
Car, après avoir vanté les mérites du futur entraîneur de Chelsea, l'ancien axial, retraité depuis 2015, s'est exprimé sur son N+1 actuel. Avec moins de qualificatifs. "Pour ce qui est de (Christophe) Galtier, il y a eu zéro rapport. Jamais, je n’ai jamais discuté avec lui. On ne s’est jamais eus. Donc après, moi je respecte le choix des uns et des autres. Et dans ce métier, il faut savoir s’adapter. C’est ça le plus important", a ajouté le Francilien au micro de nos confrères de France Bleu.
