Auteur d'un début d'année 2023 très poussif, pour ne pas dire complètement manqué, le PSG va rapidement devoir retrouver son niveau. En effet, dans un peu plus de trois semaines, les Parisiens disputeront leur 8e de finale de Ligue des Champions face au Bayern Munich. Tous les cadres de l'effectif devront être présents pour donner une plus grande chance de victoire au club de la capitale. Malheureusement, cela risque de ne pas être le cas et le PSG commence à trembler. Notamment pour Neymar.

Neymar avec le maillot du Brésil (Icon Sport)
Neymar avec le maillot du Brésil (Icon Sport)

Neymar continuer d'inquiéter le PSG

Touché à la cheville durant la Coupe du monde, Neymar met la direction du PSG dans le doute. La star brésilienne souffre toujours de sa cheville, lui qui avait tout faire pour reprendre rapidement la compétition durant le Mondial. Le protocole de guérison n'a donc pas été respecté. Résultat, des séquelles existent et empêchent le "Ney" d'être à 100% depuis la reprise fin décembre. En interne, cette situation inquiète grandement le PSG selon L'Equipe. Les dirigeants du club de la capitale ont un doute sur la capacité de Neymar à revenir à 100% avant ce fameux rendez-vous de Ligue des Champions face au Bayern Munich. Et l'ancien joueur du Barça n'est pas le seul dans ce cas.

Forfait pour la Coupe du monde à cause d'une blessure au tendon d'Achille, Presnel Kimpembe n'a toujours pas repris la compétition. Son retour à l'entraînement collectif est prévu avant la fin du mois. Toutefois, il semble compliqué d'imaginer sa titularisation face au Bayern Munich. C'est pourtant le souhait de Christophe Galtier, pas satisfait par les performances défensives de son équipe. "On espère l'avoir (Kimpembe) sur les prochaines semaines, qu'il réintègre les séances dans 8 à 10 jours. Il est très investi, très sérieux, on verra son ressenti. Son absence est préjudiciable. On connaît son importance, son niveau dans le jeu, sa capacité à être un leader de défense", a déclaré l'entraîneur du PSG en croisant les doigts devant la presse.