Après la défaite à Brentford, les regards sont plus que jamais tournés vers Ruben Amorim. Mais pourquoi Manchester United n'a-t-il toujours pas licencié son entraineur ?
Face à Brentford lors de la dernière journée de Premier League en date, Manchester United a de nouveau sombré. Dommage pour le supporter mancunien qui s'est lancé le défi de ne plus se couper les cheveux tant que son club n'alignera pas 5 victoires consécutives. Cela fait plus d'un an que son défi est en cours et ce n'est visiblement pas sous l'égide de Ruben Amorim que ce challenge prendra fin. Le technicien portugais a du mal à tirer le meilleur de ses joueurs et, comme le collectif l'a montré face aux Bees, un rien peut tout faire basculer vers le négatif. Après la défaite 3-1 sans appel, les rumeurs concernant un licenciement prochain de l'entraineur des Red Devils ont de nouveau émergé. Le conseil d'administration du club a toutefois d'autres idées en tête qui ralentissent l'hypothèse d'un départ de Ruben Amorim.
N'hésitez pas à activer les notifications pour recevoir toutes les informations du site en temps réel.
Manchester United attend le remplaçant de Ruben Amorim
Comme l'indique TEAMtalk, Manchester United n'a pas encore viré Ruben Amorim pour des raisons bien précises. Question timing, la direction estime qu'il y a mieux à faire à l'instant T. Le média britannique indique en fait que les Red Devils ont déjà plusieurs cibles en tête pour remplacer leur entraineur actuellement en place. Parmi eux, on retrouve notamment Andoni Iraola, le coach de Bournemouth. L'entraineur espagnol est encore sous contrat mais ce dernier doit prendre fin en juin 2026, soit à la fin de la saison en cours. Un état de fait qui pousse INEOS à jouer la montre.
Très clairement, l'ancienne gloire de l'Athletic Club est la priorité absolue de la direction de Manchester United. Et la perspective de pouvoir le recruter gratuitement en fin de saison est particulièrement alléchante. En outre, les Red Devils n'auront théoriquement plus qu'un an de contrat à payer à Ruben Amorim en cas de licenciement. Jusque-là, la pression sera particulièrement grande pour le Portugais, lequel n'est pas à l'abri d'un limogeage prématuré.
