La désillusion n'a d'égale que la colère. Éliminé de la course à la qualification à la Ligue des Champions au terme d'un scénario cruel face au Panathinaïkós (2-2, 3-5 t.a.b), l'OM est très remonté contre l'arbitrage. Alors que la qualification leur tendait les bras, l'intervention du VAR pour signaler une faute de main de Matteo Guendouzi dans sa surface de réparation aura asséné un gros coup au moral des Olympiens.
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À la 90e+8, Michael Oliver, le sifflet de la rencontre, accordait ainsi un pénalty aux Grecs. Une opporunité immédiatement transformée par Fotis Ioannidis (90e+9), qui en profitait pour arracher la prolongation. Poussés aux tirs au but, les hommes de Marcelino s'inclinaient finalement après que ce même Matteo Guendouzi, entré en cours de match, voyait son pénalty repoussé par le portier adverse.
L'OM enrage contre l'arbitrage
Déjà victimes d'un arbitrage très laxiste la semaine passée, les Marseillais ont de nouveau fait les frais de décisions parfois incompréhensibles. "On se fait rejoindre sur un penalty très cruel, très discutable. (…) Pour moi ce qui est inexplicable, c’est la dernière action, un simple choc entre deux joueurs, et une minute après un penalty qui est sifflé, pour moi ça n’a pas de logique", estimait Marcelino en conférence de presse d'après-match.
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Quelques secondes plus tôt, Mattéo Guendouzi subissait effectivement une faute de la part d'un joueur adverse commise dans les neuf mètres grecs. Un fait de jeu qui, selon Pablo Longoria, devait occasionner un pénalty pour l'OM. "On a subi des décisions un peu limite, qu’on ne partage pas, a réagit le président de l'OM. Je ne sais pas si vous avez vu le penalty de Mattéo… Mais on ne va pas entrer là-dedans."