Les déboires de Dani Alves n'en finissent pas. Emprisonné depuis le 20 janvier dernier pour viol et agression sexuelle, le joueur de 39 ans vit un véritable cauchemar dans sa cellule du centre pénitentiaire de Brians, à 30km environ de Barcelone. Tout d'abord, son avocat a vu ses demandes de liberté conditionnelle refusée par la justice espagnole. En effet, le Tribunal de Barcelone estime qu'il existe des preuves solides contre l'ancien joueur du PSG, et qu'une remise en liberté pourrait provoquer sa fuite vers le Brésil. Mais c'est surtout sa rupture avec sa compagne Joana Sanz qui semble avoir abattu le joueur.
Dani Alves officiellement largué par sa femme
Après avoir supprimé tous les photos de Dani Alves sur son compte Instagram, Joana Sanz a officialisé la rupture avec l'international brésilien. "J'ai choisi comme partenaire de vie une personne qui à mes yeux était parfaite. Il a toujours été là quand j'avais le plus besoin de lui, m'a toujours soutenue dans tout, m'a poussée à grandir. Il était aimant et attentionné... C'est tellement difficile pour moi d'accepter que cette personne puisse me briser en mille morceaux. Je suis toujours et je continuerai d'être avec lui, mais d'une manière différente. Je l'aime et je l'aimerai toujours. Celui qui dit que l'amour est oublié se trompe ou n'a jamais vraiment été aimé. Le pardon rend libre, alors je vais garder la magie de cette période et clore un chapitre de ma vie qui a commencé le 18/05/15", a notamment écrit la mannequin dans un message posté sur Instagram.
Depuis l'annonce de cette rupture, Dani Alves ne quitte plus sa cellule. Le Brésilien vit très mal la situation et serait totalement "dévasté" selon La Cuarta. Il s'agit d'un coup de massue en plus sur la tête d'un homme devenu "très nerveux" ces derniers jours. Dani Alves n'aurait aucun contact avec les autres détenus et attend impatiemment son procès. Pour rappel, l'ex-joueur du Barça aurait agressé sexuellement et violé une jeune femme dans une discothèque de Barcelone, le 30 décembre dernier. De nombreuses preuves soutiendraient la version de la victime et Alves risquerait jusqu'à 12 ans de prison.