Le Paris Saint-Germain a annoncé dernièrement à quelques joueurs que le club ne comptait pas sur eux pour la saison à venir. Ainsi, Neymar, Verratti, Ekitike, Sanches et Bernat sont poussés vers la sortie. Une décision du PSG qui pousse donc Luis Enrique a trouvé de nouveaux éléments capable de pallier l'absence de ces derniers. D’ailleurs, mercredi, l'entraîneur espagnol a invité Abdou Diallo à rejoindre l'entraînement avec l’équipe première. Initialement placé dans le “loft” - le groupe qui réunit les joueurs sur qui le club de la capitale ne compte pas cette saison - le joueur de 27 ans l'a quitté pour participer à l'entraînement avec le groupe principal en vue de la première journée de Ligue 1, samedi 12 août, face à Lorient.
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Un choix fait par le technicien, qui a la main mise sur qui peut évoluer dans le groupe 1, et qui reste dans le 2. Mais Enrique gère aussi le flux de joueurs qui s’opère entre les deux. Si l’ancien entraîneur du Barça estime qu’il faut plus d’éléments dans le groupe principal afin de renforcer son équipe, il piochera dans le “loft” autant qu’il le pourra. Pour ce qui est de Diallo, Luis Enrique juge qu’il lui faut un défenseur central de plus pour succéder à Nuno Mendes. L’absence du Portugais pousse d’ailleurs le coach parisien à repositionner Lucas Hernandez à gauche.
Wijnaldum et Paredes peuvent convenir à Luis Enrique
Effectivement, avec le départ imminent de Marco Verratti, qui est poussé vers la sortie par le board parisien, Luis Enrique pourrait faire remonter d’autres joueurs, en plus Abdou Diallo. Effectivement, Wijnaldum ou Leandro Paredes sont deux éléments qui peuvent tout à fait convenir au coach de 53 ans.
Si Luis Enrique décide de comment il gère son effectif, il reste pourtant un joueur auquel il ne peut pas toucher. Vous vous en doutez, le cas Kylian Mbappé reste un sujet sensible en interne. Et pour cause, depuis que le capitaine de l’équipe de France a annoncé son refus de prolonger son contrat au PSG, le club de la capitale a décidé de punir l’attaquant en l’envoyant dans le “loft”. Une décision prise par la direction, et sur laquelle le coach espagnol n'a pas la main.