Neymar continue de faire parler de lui, et pas vraiment en bien. Le Brésilien, victime d'une rupture des ligaments croisés, ne rejouera pas de sitôt au football. Mais il n'a pas besoin de cela pour faire l'actualité. Dernièrement, il est accusé de travail dissimulé par son ancienne employée, alors qu'il vivait dans sa villa parisienne, à Bougival.
Neymar, encore dans l'œil du cyclone
Cela fait maintenant plusieurs semaines que Neymar fait l'actualité. Pourtant, la star brésilienne est éloignée des terrains pour une grave blessure au genou. Infidélité, coupe de cheveux, soirées... mais aussi travail dissimulé. C'est pour cette affaire qu'une mère de quatre enfants réclame 368 000 euros à l'international brésilien. Employée pendant près de deux ans à Bougival, dans la maison de Neymar, elle a finalement pris la porte en octobre 2022. Pour UOL, elle a raconté son calvaire et son licenciement.
"La secrétaire m'a appelée et m'a dit : 'Voici votre salaire, vous n'avez plus besoin de venir, réglez votre vie privée'. Ils m'ont dit d'aller chercher mon argent auprès de l'agent de sécurité à l'entrée principale. Je me suis retrouvée sans aucun soutien. On m'a même coupé l'électricité pendant une semaine" a-t-elle expliqué. Du jour au lendemain, la femme de 35 ans s'est retrouvée sans travail, alors qu'elle était enceinte de son quatrième enfant.
Un courrier sans réponse
La jeune femme en a dit plus sur les tâches qu'elle devait accomplir dans la villa de l'ancien joueur du Paris Saint-Germain. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elles étaient variées. "J'étais chargé de faire le ménage, de faire le lit, tout ce qui concerne le nettoyage de la maison. À leur demande, pendant que la maison tournait, je devais aider ceux qui en avaient besoin. J'ai fait les ongles de la mère de son fils. Une fois, je nettoyais le gymnase et on m'a demandé de m'arrêter pour faire les ongles de Bruna", faisant référence à la nouvelle petite amie de Neymar et mère de son deuxième enfant, Mavie.
Par ailleurs, elle révèle que son travail de nuit n'a jamais été récompensé d'une prime. "Le week-end, je travaillais toute la nuit. Comme je devais rentrer tôt le lendemain matin, je dormais sur place. Mais je n'ai jamais reçu de prime de nuit. J'ai fait mes heures comme ils me l'ont demandé", insiste-t-elle. La Brésilienne, qui a tenté de trouver un terrain d'entente avec le Brésilien via un courrier recommandé, n'a jamais reçu de réponse.