Figure marquante du Paris Saint-Germain, Blaise Matuidi pourrait bientôt faire son retour en France. Alors qu'il n'entrerait plus dans les plans de l'Inter Miami, l'international français serait dans le viseur de l'ESTAC. Un retour du champion du monde 2018 dans son club formateur est-il crédible ?

Blaise Matuidi (à gauche) a fini sa saison avec l'Inter Miami, qui ne serait pas contre se séparer de lui. Icon Sport
Blaise Matuidi (à gauche) a fini sa saison avec l'Inter Miami, qui ne serait pas contre se séparer de lui. Icon Sport

Le champion du monde 2018 est devenu indésirable à Miami

Sous contrat jusqu’en décembre 2022 dans son club de l’Inter Miami, en MLS, Blaise Matuidi pourrait quitter les Etats-Unis plus rapidement que prévu. En effet, selon le journal local Miami Herald, la franchise ne compte plus sur l'ancien Parisien, décevant sportivement malgré un salaire XXL. Il y a trois mois déjà, The Sun affirmait que Miami souhaitait se séparer de Matuidi. Face à cette situation, un club français a flairé le bon coup. Il s'agit de l'ESTAC. Le quotidien l'Est Eclair affirme en effet que Troyes serait intéressé par un retour du champion du monde 2018 dès cet hiver.

Pour rappel, Blaise Matuidi a été formé à l'ESTAC, où il a évolué entre 2004 et 2007, avant de s'envoler pour l'AS Saint-Etienne. Le club de l'Aube enregistrerait ainsi l'arrivée d'un deuxième champion du monde 2018 dans ses rangs, après Adil Rami l'été dernier. Mais convaincre Matuidi ne sera pas simple...

Troyes, une piste "crédible" pour un proche de Blaise Matudi

En effet, le salaire très élevé de "Blaisou" en MLS est hors de portée pour le promu. Il faudra que l'international français réalise un important effort financier pour que l'opération se concrétise. Or, une source proche du joueur a affirmé à l'Est Eclair qu'un retour de Matuidi dans l'Aube était "crédible." Alors pourquoi ne pas rêver ?

Blaise Matuidi (à gauche) a fini sa saison avec l'Inter Miami, qui ne serait pas contre se séparer de lui. Icon Sport
Blaise Matuidi en 2006 avec Troyes, son club formateur. Icon Sport