Le PSG n'a pas tenu ses promesses
Malgré des promesses et la présence de mastodontes comme Sergio Ramos, Marquinhos, Marco Verratti, Kylian Mbappé, Neymar ou Lionel Messi, le PSG a encore failli. Opposés au Bayern Munich en match aller-retour des huitièmes de finale de C1, les Parisiens ont pris la porte. Les Munichois s'en sortent, eux, très bien avec deux succès glanés et aucun but encaissé.
Une impuissance rouge et bleu qui pose bien évidemment question. L'avenir de plusieurs membres du club est, par voie de conséquence, remis en question. On pense notamment à Christophe Galtier et son staff, à Luis Campos, mais également à certains joueurs. Cadre incontestable de ce PSG, Kylian Mbappé pourrait faire partie de ceux-ci. Non pas que ses performances soient remises en cause, mais l'ancien monégasque pourrait être affecté par cet énième échec.
Carlo Ancelotti agacé par une question sur Kylian Mbappé
Kylian Mbappé avait ainsi pris tout son monde à contre-pied le 21 mai dernier en prolongeant avec le PSG jusqu'en juin 2024. Un véritable pied de nez au Real Madrid qui travaillait le dossier depuis de nombreux mois. Mais avec cette élimination, plusieurs médias supputent que le numéro 7 pourrait demander son départ. Le PSG ne serait, pour sa part, absolument pas vendeur. Cela n'empêche pas pour autant la presse espagnole de se montrer loquace sur ce sujet.
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Carlo Ancelotti, présent en conférence de presse, n'a pas échappé à cet état de fait. Le coach du Real a donc été interrogé sur une éventuelle arrivée de Kylian Mbappé au sein de la Casa Blanca. Visiblement agacé, le technicien transalpin s'est voulu assez cash, c'est le moins que l'on puisse dire. "Est-ce que j'aimerais avoir Kylian Mbappé ? Vous pouvez me poser cette question maintenant, demain, dans une semaine, deux ou trois mois. C'est une question à laquelle je ne répondrai jamais, a pesté le Mister dans des dires relayés par Relevo notamment. J'ai vu le match entre le Bayern et le PSG, c'était intéressant." Qu'on se le dise, il n'est certainement pas le seul à en avoir marre de ce genre de questionnement… néanmoins, il y a fort à parier que cela sera désormais notre pain quotidien.
