Sergio Ramos se sent bien

C'est un tout autre Sergio Ramos que l'on retrouve cette saison avec le Paris Saint-Germain. Arrivé l'été dernier en provenance du Real Madrid, l'Espagnol a passé une grande partie de l'exercice blessé. Et cela n'a pas aidé à son adaptation dans son nouveau club. Mais depuis, les choses ont changé. Dans une interview aux médias du PSG, Ramos en a dit plus sur son état physique et psychologique avant de commencer cette nouvelle saison de Ligue 1.

"Je me sens très bien physiquement, après une bonne pré-saison et un grand travail. Beaucoup d'heures de travail pour retrouver de bonnes sensations. Et nous avons réussi à remporter un titre, en montrant un beau jeu et personnellement, j'ai pu apporter un but à l'équipe en finale, et c'est toujours spécial".

Sergio Ramos, sur le site officiel du PSG

Sergio Ramos explique ce bon niveau physique atteint par l'équipe avant même le début de la saison de Ligue 1 par "une accumulation de choses", le travail de chacun des joueurs mais aussi "le bon travail du staff et des différents entraîneurs".

Galtier, déjà apprécié par le vestiaire parisien

S'il n'a pas vraiment pu montrer le vrai Sergio Ramos sous les ordres de Mauricio Pochettino, l'Espagnol semble être l'une des pièces importantes du nouveau système de Christophe Galtier, le nouvel entraîneur du PSG. L'ancien joueur du Real Madrid reconnaît volontiers avoir encore quelques soucis avec la langue française. Mais il n'a pas tari d'éloges sur le coach français.

Sergio Ramos, buteur avec le PSG contre Nantes lors du Trophée des champions. Icon Sport
Sergio Ramos, buteur avec le PSG contre Nantes lors du Trophée des champions. Icon Sport

"C'est un entraîneur de haut niveau sur le plan technico-tactique. Un coach qui vient gagner un championnat avec une autre équipe. Il est très expérimenté et nous devons en profiter, en mettant en pratique ses idées sur le terrain."

Sergio Ramos

Sergio Ramos, qui devrait débuter sur la pelouse de Clermont aux côtés de Marquinhos et de Kimpembe, valide le choix de jouer à trois défenseurs centraux. Et ce même s'il n'est pas vraiment habitué. L'Espagnol salue notamment l'équilibre et la stabilité qu'offre ce système à une équipe dont la puissance offensive n'est plus à démontrer.