Bosz pointe le manque de confiance

Depuis le début de la saison, l’OL montre de sérieuses lacunes en Ligue 1. Une petite douzième place au classement, des prestations mitigées, bref, de quoi inquiéter les supporters lyonnais, mais également les dirigeants du club rhodanien.

Peter Bosz, présent en conférence de presse ce vendredi après-midi à deux jours du match face à Lille, estime que ses joueurs manquent surtout de confiance. « Dans le foot, quand tu ne gagnes pas, ça joue sur la confiance. Quand tu joues à Lyon et q e tu ne gagnes pas, ça fait quelque chose. Le meilleur médicament pour prendre confiance, c'est de gagner des matchs, Et pour ça, il faut avoir une équipe qui fait les choses ensemble, à 100%. C'est mon boulot de regarder ça. On travaille très bien ensemble avec les joueurs, même quand les résultats ne sont pas là »

Il ne comprend pas les sanctions

Suite aux incidents lors de la rencontre face à l’OM, Lyon s’est vu sanctionner d’un point en moins, en plus du match rejoué dans un stade vide. Une décision que Peter Bosz ne comprend pas. « Je suis très déçu. Ce qui s'est passé n'était pas bien mais punir le club... Il y avait 60.000 personnes dans le stade et il y a un fou qui fait ça (un jet de bouteille sur Dimitri Payet)... un point (en moins). Pour les joueurs, je ne comprends pas surtout que c'est Marseille qui a refusé de jouer après. J'étais dans le vestiaire de l'arbitre et il a très clairement dit : 'on va rejouer' mais Marseille a refusé. Maintenant, c'est nous qui sommes punis. Bien sûr, c'est l'un de nos supporters mais... non. Je ne comprends pas. »

Peter Bosz sur le banc lyonnais (iconsport)
Peter Bosz sur le banc lyonnais (iconsport)

« Faire des choses ensembles »

Et enfin, l’entraineur de l’OL estime que ses joueurs doivent faire les choses ensembles pour ressortir la tête de l’eau en Ligue 1. "Il faut travailler, faire des choses ensemble. La manière dont on veut jouer est très claire. Hier (jeudi face à Glasgow), la grosse différence entre la première et la deuxième mi-temps, c'était l'intensité. En deuxième mi-temps, on a bien joué alors qu'en première, le pressing n'était pas là."