En vue du prochain mercato hivernal qui commencera le 1er janvier 2026, Manchester United s'attend à recevoir une somme colossale grâce à la vente de deux indésirables.
Après un début de saison chaotique, Manchester United semble enfin retrouver une dynamique positive. Le nul arraché sur la pelouse de Nottingham Forest (2-2) ce samedi 1er novembre confirme la montée en puissance des hommes de Ruben Amorim. Depuis la trêve internationale d'octobre, les Red Devils ont su se stabiliser, portés par un collectif plus équilibré et des recrues estivales désormais mieux intégrées.
Benjamin Sesko, Bryan Mbeumo et Matheus Cunha, tous arrivés cet été, apportent une fraîcheur offensive que le club attendait depuis longtemps. Leur complémentarité et leur intensité dans le pressing ont transformé le visage de l'équipe. Amorim, adepte d'un football vertical et dynamique, semble enfin imposer sa patte à Old Trafford.
Les supporters, longtemps résignés, retrouvent espoir à mesure que le jeu s'améliore et que les résultats suivent. Le club, désormais sous la direction d'Ineos, affiche une cohérence nouvelle dans ses décisions sportives. Et cette stabilité retrouvée semble bien partie pour durer.
Manchester United lance une "politique de non-prêt" pour le mercato hivernal
Dans cette logique de reconstruction, Manchester United souhaite adopter une politique claire lors du prochain mercato : aucun départ en prêt. Selon les informations de TEAMtalk, les dirigeants préfèrent conserver leurs jeunes talents, même en manque de temps de jeu, plutôt que de les envoyer s'aguerrir ailleurs. Kobbie Mainoo et Joshua Zirkzee sont particulièrement concernés par cette stratégie.
Le club veut miser sur la stabilité et n'envisage de recruter qu'en cas d'opportunité majeure, avec des joueurs capables d'avoir un impact immédiat. Si Zirkzee, arrivé de Bologne pour plus de 40 millions d'euros, ne répond pas aux attentes, son départ ne se fera qu'en cas d'offre d'achat définitive. West Ham suit le dossier de près, mais Manchester United ne cédera pas à un simple prêt.
Même son de cloche pour Mainoo, estimé à 50 millions d'euros, que le staff préfère garder dans l'environnement du club plutôt que de le voir briller sous un autre maillot. Ces deux dossiers pourraient donc rapporter une belle somme si des ventes étaient conclues, renforçant ainsi la politique ambitieuse et à long terme voulue par Ineos.