Un dossier qui traîne en longueur

Le PSG n'a pas encore conclu son mercato estival, loin de là. Après les recrutements de Vitinha, Renato Sanches, Hugo Ekitike et Nordi Mukiele, Christophe Galtier attend encore trois renforts. Le nom de Fabian Ruiz revient avec insistance en ce qui concerne l'entrejeu. En plus, un attaquant et un défenseur sont espérés. Et pour ce qui est du central, la priorité reste, selon toutes vraisemblances, Milan Skriniar.

À cause du transfert de Bremer, l'arrivée de Škriniar à Paris pourrait tomber à l'eau (iconsport)
À cause du transfert de Bremer, l'arrivée de Škriniar à Paris pourrait tomber à l'eau (iconsport)

Problème, au fil des semaines, l'intransigeance de l'Inter au sein des négociations ne faiblit nullement. Le PSG sait donc à quoi s'en tenir : ce sera 70 millions d'euros ou rien pour le Slovaque. Luis Campos, quant à lui, serait prêt à offrir 50 millions d'euros, pas plus. On est dans une impasse.

Inzaghi ferme la porte pour Skriniar

Une impasse qui se serait même muée en épilogue définitif. Car oui, présent en conférence de presse, Simone Inzaghi, le coach interiste, s'est montré particulièrement clair au sujet du mercato des siens. Celui-ci est terminé, que ce soit dans le sens des arrivées comme celui des départs : "Le marché des transferts ? Ce sera l'équipe. Nous n'avons besoin que d'un remplaçant pour Ranocchia. Le club travaille là-dessus. Pour le reste, le mercato est fermé dans le sens des arrivées et des départs", a lancé Inzaghi devant les médias dans des dires relayés par le journaliste Daniele Mari.

De quoi entériner le dossier Milan Skriniar du côté du PSG ? On le sait, le marché des transferts peut souvent se montrer tatillon. La vérité du jour n'est pas toujours celle du lendemain, surtout pour un club comme l'Inter qui a encore besoin de liquidités. Dernièrement, la presse transalpine expliquait d'ailleurs que le président milanais, Steven Zhang, trancherait pour Skriniar. Une chose reste certaine : l'Inter va devoir boucler une grosse vente pour rester dans les clous financièrement parlants. Le PSG peut donc conserver un mince espoir.