Bosz répond sans répondre à Aulas
Lors d’une interview accordée au Progrès, Jean-Michel Aulas, le président de l’OL, n’a pas hésité à mettre un coup de pression à son entraineur « Peter Bosz, c’est costaud. Mais il n’y a pas de résultat à la hauteur. On a dit « on continue » jusqu’à fin février pour voir ce que cela donne mais dans mon esprit, on ne va pas se mettre en danger. On ne sera pas idiots ». Peter Bosz, qui a bien évidemment lu cette interview, n’a pas voulu en rajouter et estime qu’il connait très bien son travail. « Le président ne me fait pas de pression. La pression je me la mets moi-même car je veux gagner tous les matchs. Je ne sais pas comment s'est passée l'interview. Je connais mon travail, je fais mon boulot. »
Il garde confiance en ses joueurs
Durant cette conférence de presse, l’entraineur lyonnais s’est également exprimé sur la période délicate en Ligue 1. « Quand on regarde le tableau il ne faut pas étudier. Dire qu'il faut gagner à tout prix ne fait pas gagner. Il faut dire comment on va jouer.Il y a toujours des périodes pour les attaquants. Pour Moussa Dembélé je suis sûr qu'après le premier but cela va continuer. J'ai confiance en l'équipe pour marquer. Même contre Paris on a eu des occasions et c'est le plus important à mes yeux. »
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Azmoun est une possibilité
Et enfin, Peter Bosz s’est penché sur le mercato hivernal, en indiquant que tout était possible, notamment concernant Sardar Azmoun. « Ce n'est pas une question de souhait. La question c'est, Azmoun est-il un bon joueur ? Oui Azmoun c'est un très bon joueur. Après on verra. Ce que j'aime c'est que c'est quelqu'un qui marque des buts et c'est peut-être une des qualités les plus importantes pour un attaquant. Il ne fait pas que ça, il apporte plus que cela. C'est un bon joueur. Ce n'est pas une question de souhait, on verra la possibilité et ce dont l'équipe a besoin. Quelle est la possibilité ? Je suis en contact avec les dirigeants »