Un mercato déjà séduisant au PSG

Dès le mois de mai dernier, le Paris Saint-Germain a frappé fort sur le marché des transferts en... actant la prolongation de contrat de l'une de ses stars, le champion du monde français Kylian Mbappé. Dans la foulée, le PSG a conservé définitivement le très prometteur latéral gauche Nuno Mendes. Avant de recruter un défenseur international français, Nordi Mukiele, deux milieux de terrain portugais, Vitinha et Renato Sanches, ainsi que la pépite du Stade de Reims, Hugo Ekitike. Un joueur pourtant ardemment convoité par les Anglais de Newcastle, qui avançaient de très sérieux arguments financiers. Visiblement, ces arrivées n'ont pas rassasié les têtes pensantes parisiennes. Qui en attendent au moins trois autres.

Vitinha est très ambitieux avec le PSG (Icon Sport)
Vitinha est très ambitieux avec le PSG (Icon Sport)

Trois profils activement recherchés

On le savait, dans un système repensé en 3-4-1-2, le Paris Saint-Germain de Christophe Galtier est toujours en quête d'un défenseur central. Milan Skriniar, le roc slovaque de l'Inter Milan, est ainsi convoité depuis des semaines. Pour l'heure, en vain. Si le trio Sergio Ramos - Marquinhos - Presnel Kimpembe a de l'allure. Sauf que le champion du monde français n'est pas certain de rester. Et qu'une recrue à ce poste permettrait de posséder une solution supplémentaire. Non négligeable alors que se profile une nouvelle saison très dense.

Selon nos confrères de RMC Sport, ce n'est pas tout. Ainsi, malgré l'arrivée récente du champion d'Europe portugais Renato Sanches, un nouveau milieu de terrain serait toujours attendu par les dirigeants parisiens. Aussi, en attaque, Paris lorgnerait sur un renfort "pouvant peser dans le jeu aérien". En parallèle, les indésirables Layvin Kurzawa, Thilo Kehrer, Rafinha, Ander Herrera, Julian Draxler, Idrissa Gueye ou encore Mauro Icardi, qui seront absents ce samedi 6 août 2022 à Clermont pour la reprise de la Ligue 1, sont priés de rapidement se diriger vers la sortie. Histoire de faire de la place, mais aussi de faire du bien aux finances parisiennes. Avant d'accélérer sur les dernières emplettes ?