Ce titre peut paraitre fou, mais cette réalité existe bel et bien. Depuis de nombreuses semaines, une grande question se pose du côté du Paris Saint-Germain. Alors que le club de la capitale n'arrive pas à racheter le Parc des Princes pour que le club en soit propriétaire, l'état a montré plusieurs fois son intérêt pour une vente du Stade de France. Mais de ce côté là, la direction rouge et bleue est catégorique : le PSG ne peut pas jouer dans le plus grand stade de France pour des raisons géographiques et historiques. Mais l'état, par l'intermédiaire d'Emmanuel Macron, est toujours ouvert à une vente du stade.
Emmanuel Macron veut vendre le Stade de France
Selon les dernières indiscrétions de nos confrères de L'Equipe, la FIFA pourrait racheter le Stade de France. S'il appartient à l'état, c'est un consortium entre Vinci et Bouygues qui gère l'activité du stade. Mais la concession s'achèvera le 30 juin 2025. L'état souhaite donc lancer un appel d'offre immédiatement après afin de mettre en concurrence le Stade de France. Tout part d'une idée émise par Gianni Infantino à Noël Le Graët. Le sujet aurait également été abordé lors d'un repas entre Emmanuel Macron et le président de la plus haute instance du football mondial, le 15 février dernier, toujours selon les informations du quotidien sportif.
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Avec son nouveau poste au bureau de la FIFA à Paris, Noël Le Graët pourrait déjà avoir un très grand rôle à jouer dans une telle transaction. La FIFA est réellement ouverte à l'idée de racheter le stade de France et y verrait d'un bon oeil son utilisation pour la Coupe du monde des clubs ou pour héberger des sélections ne possédant pas d'enceinte de ce niveau, de temps en temps. Toutefois, L'Equipe précise également que la vente d'un tel monument peut prendre beaucoup de temps. Estimé à 600 millions d'euros, le prix sec doit être ajouté à celui des potentiels travaux (~300/400 millions d'euros). Et pour être vendu, "il devrait être déclassé du domaine public, au bout d'un processus réglementaire", affirme également le journal. En clair, rien n'est encore fait.