Le prochain mercato du FC Barcelone s'annonce chaud bouillant. En tout cas, si le club catalan ne veut pas être très actif en janvier, il le sera indéniablement lors de la prochaine fenêtre estivale de transferts. Avec les gros problèmes financiers que rencontre le club, la direction ne va pas avoir vraiment le choix en matière de vente de joueurs. Certains sont considérés comme de réels actifs qu'il ne faut pas perdre sportivement, mais qui feraient un bien fou financièrement en cas de départ. D'autres sont considérés comme des poids trop importants dans la masse salariale du club au regard de leurs performances sur le terrain. Dans ce cas, on trouve par exemple Marcos Alonso.

Marcos Alonso a un bon de sortie

Le contrat de Marcos Alonso est particulier. A son arrivée en Catalogne en septembre 2022, l'ancien latéral gauche de Chelsea signait pour une seule saison. Toutefois, à l'issue de l'exercice 2022-2023, l'international espagnol prolongeait d'un an son contrat. Ce dernier stipule aujourd'hui qu'il prolongera automatiquement d'une nouvelle saison s'il joue plus de la moitié des matchs officiels du Barça cette année. De quoi expliquer son manque effarant de temps de jeu décidé par Xavi ? En tout cas, la direction ne sera pas contre son départ. Et s'il y a peu de chance qu'il quitte le club en janvier moyennant une offre de transfert, il devrait quitter la Catalogne librement à l'issue de la saison.

Et selon Mundo Deportivo, diverses écuries sont déjà venues aux renseignements. Depuis plusieurs semaines, la presse espagnole affirme qu'il existe un intérêt de l'Atlético de Madrid qui pourrait attendre la fin de son contrat pour foncer. Manchester United a aussi pris la température sans aller plus loin. En revanche, c'est bel et bien l'Arabie saoudite qui semble tenir la corde sur le dossier. MD révèle en effet que les clubs saoudiens d'Al-Ettifaq, d'Al-Ittihad et d'Al-Hilal ont montré un intérêt pour le joueur. Si ce dernier ne serait pas contre une nouvelle pige en Premier League, il pourrait bien céder à l'appel du Golfe. Affaire à suivre, donc.