Une étape de plus dans l’affaire Emiliano Sala. Alors que le mercato a commencé, les FC Nantes et Cardiff City sont toujours engagés dans une procédure judiciaire interminable. En effet, la totalité des indemnités de transferts de l’attaquant, disparu il y a plus de quatre ans (janvier 2019), a été réclamée par la direction Canaris au club gallois. Il y a un an, Cardiff avait été sommé par le TAS (tribunal arbitral du sport) de payer 6 millions d’euros aux Canaris. Par ailleurs, Nantes ne devrait pas être le seul club français à toucher une indemnité.
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En effet, les Girondins de Bordeaux devraient toucher une somme allant de six à sept millions d’euros. Un montant qui serait versé par le FC Nantes comme l’a expliqué Ouest France ce jeudi. Effectivement, les Girondins avaient un pourcentage de 50% à la revente sur le joueur. Une clause négociée par Bordeaux en 2015, lors du transfert de Sala à Nantes. Ensuite, l’Argentin avait été vendu par les Canaris aux Galois en 2019. Malheureusement, la suite, nous la connaissons puisque ce dernier n’avait jamais eu l’occasion de porter les couleurs de Cardiff City, qui se battait pour se maintenir dans l’élite anglaise.
Un dédommagement de 110 millions pour palier la perte de Sala
Dans le cadre des procédures judiciaires engagées par le FC Nantes et Cardiff City suite à la disparition de l’attaquant, les deux clubs se sont retrouvés ce jeudi devant le tribunal de commerce de Nantes. Le club français réclame aux Bluebirds la totalité de l’indemnité de transfert, soit, 17 millions d’euros. Du côté de Cardiff, on attend pas moins de 110 millions d’euros de dédommagement. Une somme astronomique, que la direction nantaise risque d’avoir du mal à payer en cas de jugement négatif.
