Tic-tac... L'heure tourne et l'Olympique lyonnais patine. Les Gones cherchent toujours à trouver le latéral gauche qui leur fait défaut depuis le départ d'Emerson vers Chelsea. Nicolas Tagliafico, principale cible des Rhodaniens, peine à se décider.

Une deadline pour Nicolas Tagliafico

Le troisième sera-t-il le bon ? Battu par Manchester United dans le dossier Tyrell Malacia et éconduit par Villareal qui demande trop cher pour Pervis Estupiñan, l'OL semble désormais se trouver au pied du mur. Nicolas Tagliafico, le joueur de l'Ajax Amsterdam, constitue désormais la cible principale du club rhodanien.

Le problème ? Cela fait plusieurs semaines que les équipes de Jean-Michel Aulas travaillent sur ce dossier, mais ne parviennent pas à concrétiser. Le joueur se fait encore désirer alors que l'optimisme semblait de rigueur récemment. Bruno Cheyrou s'est même rendu aux Pays-Bas pour convaincre le joueur. Une signature de contrat était même espérée avant la fin de semaine.

Mais, selon Foot Mercato, qui relaie les informations du média néerlandais De Telegraaf, le dossier serrait encore loin d'être bouclé. Lassé, les Gones auraient donc envoyé un ultimatum à Nicolas Tagliafico. Le joueur doit se décider avant le début de semaine prochaine, sinon l'offre sera caduque.

Des concurrents pour Lyon ?

L'Olympique lyonnais serait prêt à payer les 4 millions d'euros réclamés par l'Ajax Amsterdam pour son latéral gauche. Le dossier bloque donc bien au niveau du joueur lui-même, qui n'est pas vraiment certain de vouloir jouer au Groupama Stadium la saison prochaine.

Si Nicolas Tagliafico hésite encore aussi, c'est parce qu'il privilégie la Premier League ou la Liga pour la suite de sa carrière. En attendant que des pistes se décantent dans ces championnats, il a donc tenté de jouer la montre. Il serait notamment dans le viseur d'une écurie anglaise.

Si Nicolas Tagliafico ne donne pas de réponse avant le début de semaine prochaine, Lyon pourrait revenir à la charge pour Pervis Estupiñan. Reste à voir si les Gones trouveront les arguments pour pousser Villareal à se montrer moins gourmand...