Agüero à l'honneur

Manchester City a fêté en grand les dix ans de son titre en Premier League et ce but historique de Sergio Agüero contre les Queen's Park Rangers lors de la dernière journée de championnat. Pour rendre hommage à l'international argentin, les Citizens ont décidé de créer une statue à l'effigie du Kun à l'entrée de l'Etihad Stadium.

La statue de Sergio Agüero devant l'Etihad Stadium, en hommage à son but inscrit en 2012 contre QPR. Icon Sport
La statue de Sergio Agüero devant l'Etihad Stadium, en hommage à son but inscrit en 2012 contre QPR. Icon Sport

La statue représente le Kun Agüero brandissant le maillot de Man City, célébrant un but qui a fait le tour du monde et qui avait totalement fait exploser l'Etihad Stadium dans le temps additionnel. Mais c'est le visuel de la statue qui a fait sourire ces dernières heureuses.

Une ressemblance frappante avec Toni Kroos

En effet, cette statue a suscité de nombreuses réactions, et a beaucoup amusé. Notamment en Espagne. De l'autre côté des Pyrénées, nombreux sont ceux qui ont vu une grande ressemblance avec Toni Kroos, le joueur allemand du Real Madrid.

Si bien que le joueur lui-même a fini par réagir sur Twitter. Reprenant un tweet d'un journaliste anglais dans lequel il affirme "Sergio est là", Kroos s'est amusé et a répondu "Tu es sûr ?". Ce n'est pas la première fois que l'Allemand s'amuse ou réagit sur ses réseaux sociaux. Il avait notamment tweeté après la nouvelle remontada du Real Madrid contre Manchester City.

Arrivé en 2014 au Real Madrid, Toni Kroos a remporté trois Ligues des champions avec le club merengue (2016, 2017 et 2018) et jouera une nouvelle finale de 28 mai prochain contre Liverpool. Sur la scène nationale, l'Allemand a notamment gagné trois Ligas, en 2017, 2020 et 2022. Le milieu de terrain de 32 ans, parfois critiqué, a montré qu'il était toujours un joueur de classe mondiale, amenant le Real Madrid vers une nouvelle finale de C1. Mais l'Allemand devra tout de même se méfier de la nouvelle génération madrilène, personnifiée par Eduardo Camavinga.